Cesser d’utiliser X (anciennement Twitter) pour les communications officielles du gouvernement
Cessez d’utiliser cette plateforme comme l’un des principaux porte-parole des communications officielles en France. Il existe des alternatives bien mieux modérées et régulées, et il est même possible de gérer sa propre plateforme. Si vous allez ailleurs, les journalistes et les citoyens qui veulent consommer l’information du gouvernement français iront aussi ailleurs.
Le propriétaire de cette plateforme est ouvertement opposé aux valeurs de la Constitution française. Il publie régulièrement des théories du complot, sape délibérément les processus démocratiques dans son propre pays et à l’étranger, et adopte régulièrement une rhétorique raciste, misogyne et homophobe. Il est embarrassant que nos ministères officiels et des personnalités importantes, y compris le cabinet du président, continuent d’ajouter régulièrement du contenu à cette plateforme. Non seulement ils soutiennent tacitement le propriétaire, mais ils lui remplissent les poches.
Qui ne posent pas de problème de conservation de compte et de modération.
Oui au niveau technique c’est possible, je n’ai jamais dit le contraire, je sais très bien qu’on peut mettre en place une instance mastodon très facilement.
On garde quand même le problème de modération et de conservation du compte, qui restent des points important à régler avant de proposer sérieusement l’idée.
Une association d’élus pourraient sans que rien ne passe par la loi héberger sa propre instance mastodon et proposer à ses adhérents des comptes, tout en laissant l’élu libre de choisir son instance.
Évidemment je ne dis pas que ça ne soulève pas des questions. Mais que il y a quelque chose de possible. Que niveau masse utilisateurs sur plusieurs décennie – hors volumes excessive de publication – c’est en théorie aussi gérable. Il n’y a que pour la question de la modération où je ne saurais trop que conseillé n’étant pas expert du sujet. Et pour la conservation des données je ne pense pas que ça soit + complexe que le simple fait de rapatrier l’ensemble des données hébergé dans les cloud étrangers, pour ne pas dire américain. Mais c’est des choses qui ne sont petit à petits, par collectivité, ou … initiative d’institution étatique comme ici avec la Direction Interministérielle du Numérique (DINUM), notamment ce que je suggère dans la réédition de mon précédent commentaire.